Pour les anciens Grecs, l’Acropole désignait la partie haute de la ville, où se nouait le contact entre les dieux et les hommes, entre le visible et l’invisible. Depuis, c’est un lieu symbolique présent dans notre imaginaire, qui encourage chacun à gravir son propre sommet pour exprimer ce qu’il a de meilleur. Nous avons besoin aujourd’hui de nouvelles acropoles, non de pierres, mais au cœur des hommes et des villes, pour grandir intérieurement et renouer des liens avec les autres et la nature.